Restaurant Le Martray - Pontivy

Steph D

De passage à Pontivy nous nous sommes arrêtés dans ce restaurant découvert un peu par hasard. Quelle découverte. Un très bon repas pris en formule du midi. La cuisine est maison et c’est une pure merveille. Le monde présent dans le restaurant peut en témoigner. Un dernier mot sur le service. Attentif, discret et très très agréable.
Allez y les yeux fermés

Marie ProutProut

Restaurant conseillé par l’hôtel où je suis hébergée.
Très bon accueil de tout le personnel
Plats délicieux et bien servis.
J’ai particulièrement adoré le far breton

Dommage qu’en soirée étape, l’hôtel ne propose pas de choisir à la carte. J’aurai apprécié de choisir d’autres plats même avec un supplément.

Merci et bravo à tout le personnel du restaurant du restaurant

Jacques ETIENNE

Très bien accueillis
Nous avons pris des formules entrée, plat, désert sauf que l'une des convives ne mangeait ni viande ni poisson.
Aussitôt, le personnel lui a proposé d'adapter le menu et pour cela, on ne peut que les en remercier.
On a pris du temps à table, à aucun moment, nous n'avons eu l'impression de gêner.
On a prévenu, lorsqu'on fera une halte à Pontivy, nous réserverons à nouveau au Martray.

Jean-Christophe Leinen

Un excellent rapport qualité prix et un service très professionnel. C'est vraiment le style de restaurant qu'on aimerait voir partout. Je vous recommande le rougail saucisses breton....

Inès M

Très bon restaurant local, le service est très sympathique ! Les prix sont très corrects au vu de la qualité du repas, je recommande ++

Langouët Lucie

Très bon accueil dans ce restaurant, le service est agréable. On y mange très bien, ce que j'ai mangé était délicieux. Le cadre est charmant, petite rue calme et piétonne. Le menu du midi est à un tarif très raisonnable. Je recommande.

Xavier Robichon

Restaurant très bon est agréable, ainsi que le personnel.
Je recommande fortement.

Science Labs

En pénétrant dans l’antre de "Le Martray", guidé par l’éclatante lueur des louanges tissées par d’innombrables voix anonymes sur la toile immense et impalpable de Google, mon cœur palpitait d’anticipation. L’accueil, doux et chaleureux tel le souffle d’Éole, fut porté par une nymphe aux mains agiles et au sourire enchanteur, nous présentant sur l’ardoise noire et lisse les promesses de délices à venir. Mon regard fut captivé par l’émincé de magret de canard, ce chant sirénien de la gourmandise, nappé d’une sauce miel et citron vert, écho lointain et sucré de mes péchés mignons.

Hélas, quelle déception amère lorsque le plat, tel un mirage trompeur, se dévoila à mes yeux ! L’émincé n’était que l’ombre de lui-même, quelques morceaux de chair (même pas rosée) ayant perdu leur tendresse et leur suavité, accompagnés de légumes aquatiques et insipides, et d’un gratin dauphinois dénué de toute saveur. Seules les pommes rôties, tels des phares dans la nuit, tentaient vainement de sauver le navire du naufrage gustatif. Et pour le prix de dix-huit écus, le choc fut grand et la déception, profonde. La crème brûlée, douce consolation, ne suffit point à apaiser le tumulte de mon palais et de mon âme, me laissant ainsi avec un sentiment d’amertume et de regret face à l’injuste balance de la qualité et du prix.